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La Région de Damas
Damas
Orientation
Quartiers
La vieille ville
Le souk Hamidiyé
La Mosquée des Omeyyades
Autour de la Grande Mosquée
Le quartier Chrétien
La ville nouvelle
La Haute Cour de Justice
Le souk de l'artisanat
Tekiya Soulaymaniya
Le Musée National

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C’Est généralement par la région de Damas, que votre périple en Syrie débutera. Vous pénétrerez ainsi directement dans le souvenir des plus grands prophètes. Abel y est enterré, Abraham y naquit. À Damas, l’ombre de Saint Paul est évoquée, sur la rue Droite. Dans ses hauteurs, celle de Mahomet contemplant la ville et à Bosra, le souvenir de son initiation aux mystères du monothéisme par un moine chrétien.
Carrefour des religions se côtoyant pacifiquement, la région ouvre aussi aux plaisirs de l’existence, chantés depuis des siècles. Aux palais délicats s’offre une déclinaison infinie de mezze (entrées), sucreries, fruits confits tirés des vergers locaux ; le meilleur arak (eau de vie anisée tirée du raisin) vient quant à lui de la montagne druze au Sud de Damas.
Plaisirs esthétiques également, qui se révèlent dans le raffinement des palais de la ville ; un goût pour l’ornementation déjà manifeste dans les édifices d’époque romaine qui couvrent le Hauran et le djebel druze. Quant à l’artisanat, la capitale de la Syrie a donné au monde les plus belles étoffes, dont le célèbre damassé.

Mahomet se serait contenté d’admirer la ville d’une colline la surplombant, « parce qu’on n’entre pas deux fois au paradis ». Oasis paradisiaque de montagne, traversé des eaux fraîches de la rivière Barada, c’est ainsi que Damas apparaissait aux Bédouins surgis du désert.
La ville offre aujourd’hui à ses touristes une ville à la fois jeune et ambitieuse, observée dans les rues de ses quartiers modernes et ancrée dans un passé prestigieux dont les enceintes de la vieille ville se font chaque jour le théâtre.

• Orientation
Sachez que la majorité des rues de Damas ne portent pas de nom, et quand elles en portent, leurs noms sont malconnus des Damascènes. Le plus simple est donc de repérer des bâtiments (le palais du gouvernement, la poste, Cham Palace…) des monuments (la mosquée des Omeyyades, les portes d’entrée de la vieille ville…) des lieux publics (le parc, la gare…) et des grands axes (la rue Droite…) pour vous orienter.
Vous pourrez également vous repérez facilement par le sommet chauve du Mont Qassioum, visible de tous les points de la ville.

• Quartiers
La vieille ville s’est bâtie le long de l’un des bras de la fougueuse rivière Barada : le souk à l’Ouest, les quartiers d’habitations (traditionnellement répartis par confession) à l’Est.
Le cœur historique de Damas a depuis largement débordé de ses remparts, et d’autres quartiers se sont détachés : le quartier Midan, en fait une longue rue autrefois commerçante, le quartier de Salihiyé sur les contreforts du Qassioum, véritable voie funéraire entre le quartier kurde (al–Akrad) et celui de Mouhajirin, bâti pour abriter les réfugiés musulmans de Crète au début du siècle.
Entre ces quartiers et la vieille ville, la Damas moderne a défriché son territoire, celui des affaires et des communications, autrement dit tout ce qui peut intéresser votre séjour : gares, hôtels, bureaux, administrations, ministères, cinémas, compagnies aérienne…
Un peu à l’Ouest, la large avenue Al Jalaa, fief de la bourgeoisie locale, dresse ses immeubles cossus des années 50. C’est avec le quartier voisin de Charkassyeh, le secteur des ambassades.
Sous la pression démographique, de nouveaux quartiers ont surgi : le quartier Mezzé au pied du palais présidentiel, à l’opposé, le quartier Barzé . Quant aux pentes du Mont Qassioum, elles ont été anarchiquement colonisées par des maisonnettes , tout comme les cités de Yarmouk et de Tabbalé, respectivement au Sud et à l’est.

• Point d’intérêt : la vieille ville
Le cœur historique de Damas nécessite au minimum une journée pour une visite au pas de course, plutôt trois pour se familiariser avec les lieux.
Pour les touristes, la ville a installé des panneaux indiquant la quasi totalité des monuments.
L’accès à la vieille ville se fait invariablement par le souk Hamidiyé. Devant les murs de la citadelle, vous verrez une statue moderne de Saladin, invitation à entrer dans la légende des siècles.
La citadelle est placée sous l’autorité du service des Antiquités et ne se visite pas. Elle n’est ouverte qu’occasionnellement, lors d’événements culturels et fait l’objet de recherches archéologiques. Vous pouvez en revanche, en faire le tour en empruntant la ruelle piétonne qui longe le Barada.

• Le souk Hamidiyé
La partie la plus touristique du souk est construite le long de l’axe de la cité romaine, qui se dirigeait vers le temple de Jupiter, maintenant mosquée des Omeyyades.
Les boutiques, véritables cavernes d’Ali Baba, regorgent sur deux étages de cuivres, marqueteries, nappes, robes, tapis… des merveilles que l’on peut trouver dans les quartiers spécialisés du souk à un prix bon marché.
Vous trouverez ces souks spécialisés de part et d’autre de l’axe principal : Harika et ses boutiques de lingerie, Bazouriyé aux parfums d’épices, Midhat Pasha royaume du Bédouin. Vous trouverez également le souk des narguilés, celui des foulards, des bijoux etc.
A 400 mètres environ de l’entrée de cette large voie dallée, on parvient à l’entrée principale de la Grande Mosquée, marquée par des portiques romains provenant de l’ancien temple de Jupiter.

• La Mosquée des Omeyyades (Grande mosquée ou Jaamea Ommawi)
La Grande Mosquée de Damas est l’une des plus vénérées de l’Islam. Commencée sous le calife Walid Ier en 705, elle fut achevée en 715. Il y a trois mille ans, s’y trouvait un temple araméen consacré à une divinité (Hadad) des anciens Arabes syriens. Au début de l’ère chrétienne, sous les Romains, il devint un temple païen consacré à Jupiter et lorsque le christianisme se répandit au IVe siècle il se transforma en une église portant le nom de Saint Jean–Baptiste.
Après la conquête musulmane en 635, les Musulmans et les Chrétiens s’accordèrent pour se partager les lieux et accomplir leurs prières côte à côte au son des cloches et des appels des muezzins.
Lorsque Al Walid décida de faire construire une vaste mosquée, digne de la grandeur de l’Etat arabe, une mosquée « comme personne n’en construisit d’égale ni avant ni après » … il proposa aux Chrétiens de Damas de leur octroyer plusieurs églises et de leur construire une église nouvelle (l’Eglise Saint–Jean) en échange de la cession de la partie qui leur était réservée. La construction de la mosquée nécessita près de dix ans et coûta plus de onze millions de dinars or. On réunit à cet effet un nombre élevé des meilleurs architectes, artistes, maçons, menuisiers, marbriers et dessinateurs. Le résultat fut un monument à l’architecture exceptionnelle qui, pendant des siècles, allait servir de modèle aux constructeurs de mosquées dans tout le monde arabo–musulman.
La mosquée de Damas se distingue par ses trois minarets, réalisés dans des styles différents et dont les parties supérieures furent rénovées aux époques ayyoubide, mamelouk et ottomane. Elle se distingue également par sa salle de prière et sa cour, toutes deux très vastes; par ses murs revêtus de mosaïques qui représentent des jardins, des palais, des frondaisons et des fleuves paradisiaques; et par sa coupole bleue tirant sur le gris (coupole de l’aigle). La salle de prière abrite la tombe monumentale du Prophète Yahia (Saint Jean–Baptiste) qui a annoncé et baptisé le Christ et est vénéré par les Chrétiens comme les Musulmans.
Si les influences byzantines sont certaines dans l’architecture et la décoration, l’intérieur fut adapté aux exigences du culte musulman et les thèmes développés sur les murs de la cour dénotent une influence orientale.

Les touristes entrent par le Nord de la mosquée, en son flanc gauche, à la Bab al–Amara. La mosquée est accessible aux visiteurs de 9h à 17h, tous les jours sauf le vendredi pour la prière de la mi–journée. L’entrée est payante (150 LS, tarif unique comprenant la visite du mausolée de Saladin). Les femmes doivent revêtir une longue cape, prêtée au guichet si besoin. On ne se déchausse qu’à l’entrée de la salle de prière et à l’entrée du mausolée de Saladin.

• Autour de la Grande Mosquée
• Musée d’Epigraphie Arabe
Cette belle madrasa Jaqmaqiyé (style mamelouk du XVe siècle) abrite une collection de manuscrits anciens : Corans enluminés, parchemins etc. Vous admirerez son architecture intérieure et ses marqueteries de marbre, et pourrez vous amuser à essayer de reconnaître les styles de calligraphie.

Le musée est indiqué depuis l’entrée de la Mosquée. Ouvert tous les jours sauf le mardi, de 9 h à 14 h, et de 16 h à 18 h (en hiver 9 h – 16 h).

• Madrasa Zahiriyé et Adiliyé
Ces deux anciennes écoles coraniques qui se font face remontent à l’époque ayyoubide (XIIIe siècle)
A droite, la madrasa Zahiriyé, aujourd’hui bibliothèque universitaire, abrite le tombeau du célèbre sultan mamelouk Baybars (mort en 1277), plusieurs fois vainqueur des Francs et des Mongols. Vous verrez également de magnifiques décorations de marbre polychrome dans la salle du cénotaphe.
A gauche, la madrasa Adiliyé, un peu plus ancienne, entoure une jolie cour et abrite la tombe d’al–Adil Sayf ad–Din, le frère de Saladin, qui à la mort de celui–ci devint maître de l’Egypte et de la Syrie.

Vous y parviendrez facilement du souk Hamidiyé, en prenant à gauche devant la Grande Mosquée. Ouverture tous les jours de 8 h à 17 h, sauf le vendredi. Entrée libre.

• Le souk Assagha
C’est la rue des orfèvres, où les commerçants sont en majorité chrétiens. Les articles s’évaluent au poids. Vous trouverez principalement de l’or, l’argent n’étant porté que par les Bédouines.
Dans le bas de la rue, l’or laisse place aux épices et aux parfums, et des passages ouvrent vers des petites cours intérieures anciennement occupées par des caravansérails (khans), aujourd’hui remplacés par des boutiques.

Depuis la Grande Mosquée, sur la route vers le Palais Azem.

• Le palais el Azem (musée national des Arts et Traditions populaires)
Situé au cœur de la vieille médina et de ses souks, au Sud de la Mosquée Omeyade, on considère le palais Azem comme le somptueux prototype de la demeure damascène, dont la simplicité et la sobriété extérieures ne laissent rien soupçonner d’un bel intérieur spacieux et riche possédant arbres fruitiers, jets d’eaux, fleurs et senteurs.
Le Palais fut construit au milieu du XVIIIe siècle pour servir de résidence au gouverneur de Damas. Les maçons et les décorateurs travaillèrent avec tant de goût qu’ils réussirent un condensé admirable des arts damascènes dans ce palais. Ceci est perceptible dans ses salles, ses iwans, ses arcs, ses marbres, ses hammams, le jeu de couleurs de ses pierres.

Ouverture tous les jours sauf le mardi, de 9 h à 14 h et de 16 h à 18 h (en hiver 9 h – 16 h). L’entrée est payante (150 LS).

• La rue Nour ed–Din ash–Shahid
Au débouché du souk Hamidiyé, cette longue allée commerçante, en partie couverte, part du propylée romain qui précède la façade occidentale de la Grande Mosquée, et se dirige vers le Sud jusqu’à la rue Droite. Le premier monument en arrivant de la Grande Mosquée, est le khan al–Goumrouk, khan des douanes. Il illustre parfaitement la grandeur des caravansérails construits à l’époque ottomane (vers 1610).
Vous verrez plus loin la madrasa Nour ed–Din, fondée au XIIe siècle par l’atabeg d’Alep, et dans la rue Moawiya qui l’héberge, jetez un coup d’œil à la très belle cour intérieure de la madrasa Abdoullah al–Azem, un bel édifice du XVIIIe siècle, aujourd’hui occupé par un magasin d’artisanat.

• La rue Droite (rue Midhat Pacha et Bab Sharqi)
La rue traverse la ville sur plus de 1300 mètres. A l’Ouest, on trouve le souk Midhat Pacha, recouvert d’une voûte de tôle ; à l’Est, se trouve la rue Bab Sharqi, qui se termine par l’ancienne porte romaine du même nom. Dans le souk Midhat Pacha, vous trouverez notamment des fruits et légumes, du café frais, des fruits secs. N’hésitez pas à vous perdre dans les rues qui jouxtent la rue Droite : elles regorgent de splendides khans ottomans, et de belles demeures anciennes. Ne manquez pas le khan Souleiman Pacha, ouvert par une porte monumentale, qui s’organise autour d’une cour rectangulaire. Vous passerez ensuite dans la rue Rachid Jokhadar, à l’Ouest, parallèle à la rue Midhat Pacha ; très commerçante, elle conduit à Bab al–Jabiyé, une porte du XIIe siècle avec de très beaux vantaux qui remplaça la porte romaine de Jupiter, dont elle réutilise des matériaux.
A 100 mètres au sud du souk Midhat Pacha, le palais Sibaï offre un bel exemple de restauration réussie. Un peu plus loin, dans la rue Nassif Pacha, le palais Nizam, lui aussi restauré, est aujourd’hui parfois utilisé pour les réceptions d’Etat. On peut le visiter en demandant au gardien : vous verrez deux très belles cours parées d’iwans et décorées d’une riche marqueterie de pierres. Au fond de la rue du même nom, vous pouvez voir le palais Maktab Anbar, d’accès libre pendant les heures d’ouverture.
Vous entrerez ensuite dans le secteur de l’arc romain qui marque la mi–course de la voie antique. La coupole de la cathédrale grecque orthodoxe Sainte–Marie signale que l’on entre dans le quartier chrétien. Autour de l’arc, vous trouverez des magasins d’antiquités et jusqu’à Bab Sharqi, les boutiques de tapis, antiquités et objets précieux feront la joie des chineurs.
Tout à l’Est, au bout de la rue Droite, se trouve la rue Bab Sharqi, qui se termine par l’ancienne porte romaine du même nom, entièrement conservée.
Entre bab Sharqi et bab Kissan (porte Saint–Paul), notez que l’on peut voir sur 400 mètres, le soubassement de la muraille romaine construite en gros blocs, dans la partie inférieure du mur.

• Le quartier chrétien
Chaque dimanche, la place Haret as–Zeitoun est envahie par les Chrétiens de toutes confessions qui célèbrent l’Eucharistie dans l’une des églises qui borde la place.
Le reste de la semaine, l’animation se fait rue Bab Touma, dans la principale artère commerciale du quartier chrétien.

La chapelle Sainte–Ananie est un incontournable pour ceux qui suivent les traces de Saint Paul. Elle est ouverte tous les jours, sauf le dimanche et les jours de fêtes religieuses, de 9 h à 13 h et de 15 h à 18 h. Au bout de la rue Hananya, bordée de magasins d’antiquités et de souvenirs, l’église aurait été construite vers le Ve siècle, à l’emplacement de la maison d’Ananie, le Chrétien qui dessilla Paul sur la rue Droite. Sa destruction probable au XIIIe siècle n’empêcha pas le lieu de rester culte. Dans les années 1920, des fouilles mirent à jour les vestiges d’un édifice byzantin, et par dessous, ceux d’une habitation que les archéologues datèrent du Ier siècle de notre ère. Aujourd’hui, vous verrez une crypte qui engloberait une partie de la demeure antique et une série de chromos qui relatent la vie de Saint Paul.
L’église Saint–Paul, église récente, derrière la porte Bab Kissan, est l’autre lieu dédié au disciple du Christ. L’église étant récente, c’est surtout la porte qui s’élève à l’emplacement ou le saint aidé des disciples aurait quitté la ville dans un panier pour fuir les juifs.
La rue Bab Touma, rue très animée, héberge un grand nombre de magasins appartenant à la communauté arménienne. La rue aboutit au Nord à la porte du même nom, Bab Touma (porte de Thomas), un puissant édifice militaire construit au XIIIe siècle, à l’emplacement d’une porte de la ville romaine. Au long des ruelles adjacentes, d’autres églises ou des écoles confessionnelles signalent le dynamisme de la Chrétienté orientale.

• Points d’intérêts : la ville nouvelle
Centre de la ville moderne, elle regroupe les hôtels et de nombreux restaurants.

• La Haute Cour de Justice
Sur le trottoir gauche de An–Nasr, elle occupe l’ancien caravansérail d’Ibrahim Pasha. Le sérail des deux derniers gouverneurs ottomans (siège de l’actuel Ministère de l’Intérieur), non loin de la place Merjé, face à l’hôtel Kertaja, date de 1900. De la centrale téléphonique, on peut admirer la jolie façade du siège de la Société des eaux el–Fijé qui alimente Damas en eau potable. Enfin, la gare du Hedjas, construite en 1913, conserve un plafond peint dans le plus grand style damascène, en très bon état.

• Le Souk de l’Artisanat
Propriété du Ministère du Tourisme, ce souk relève de la volonté de maintenir vivantes les traditions artisanales syriennes, en les rendant accessibles aux touristes. Ce souk vaut le détour pour la qualité des objets vendus dans les boutiques, idéal pour ceux qui n’auront pas eu le temps de faire du shopping. Le charme de ce souk tient à sa situation dans la madrasa Soulaymaniya, véritable havre de paix.
Ouvert tous les jours jusqu’à 20 h.

• Tekiya Soulaymaniya
En poursuivant l’allée principale du souk, on atteint la Tekiya Soulaymaniya. C’est l’un des plus beaux monuments de l’époque ottomane. Il a été construit en 1554 par ordre du Sultan Soliman le Magnifique, à l’endroit où se trouvait le célèbre château du roi Adh–Dhaher Baibars, le Qasr Al Ablaq. C’est le distingué architecte ottoman Sinan (bâtisseur de la mosquée Soulaymaniya d’Istanbul) qui en dessina les plans. Le monument se caractérise par l’élégance de son architecture et par ses deux minarets à fûts lisses. De superbes carreaux de faïences locales à décor floral ornent le tympan des portes.

Les jardins sont ouverts en permanence, la mosquée est ouverte aux seules heures de prière.

• Le Musée National
Le plus fabuleux des musées de Syrie mérite plus d’une visite pour en apprécier la richesse. L’idéal serait de s’y rendre une fois en début de séjour et une fois à la fin, la visite des sites en dehors de Damas permettant une approche beaucoup plus avertie.
Le musée a été aménagé sous le mandat français, aussi les indications sont-elles souvent libellées en français.
La richesse du musée est telle qu’il est impossible d’énumérer tout ce qui y est exposé (antiquités classiques, orientales, arts islamiques….) Vous trouverez un plan et un guide sur place.

Ouvert tous les jours sauf le mardi, de 9 h à 18 h (9 h – 16 h en hiver, 15 h pendant le Ramadan) ; Entrée payante (150 LS). Vendredi interruption de midi à 13 h pour la prière. L’entrée du musée se trouve le long du Barada que l’on atteint en prenant la rue à droite en sortant de Tekiya. Interdiction de photographier. Cafétéria.